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Bellatrix 2018 2019
18 novembre 2018

Jeudi 15 novembre 2018 (suite) Vers 15h30, nous

Jeudi 15 novembre 2018 (suite)

Vers 15h30, nous sommes partis à terre vers l’appontement où se retrouvent toutes les
embarcations de pêcheurs. Le débarquement du dinghie doit être effectué en voltige entre
deux trains de houle. Un local, Raphaël nous aide à amarrer l’embarcation parmi les autres.
Sur l’embarcadère il y a des vendeuses de poisson mais leur étal n’est plus très fourni à cette
heure de l’après midi.
Un petit tour de ville qui est en plein chantier pour la rénovation de l’artère principale.

1 Rue principale de Santa Maria en réfection

Rue principale de Santa Maria en réfection.


Nous déambulons de boutiques en boutiques de curios. Beaucoup sont tenues par des
africains, maliens et sénégalais principalement. On ne compte pas beaucoup de locaux. L’un
d’eux, un malien, nous fait un cours de géostratégie expliquant la raison de la présence de la
France au Mali. Selon son principe « les politiques n’ont pas d’amis que des intérêts », si nous
sommes intervenus c’est pour pouvoir exploiter les richesses pétrolières et minières du pays
puisque nous n’avons rien chez nous. D’après lui la France a aussi des vues sur les autres pays
africains pour faire de même avec l’or, les diamants, le bois etc.

2 Discussion avec un vendeur malien

Discussion avec un vendeur malien.

Nous nous sommes quittés bons amis. Nous avons ensuite poursuivi notre exploration du
village et des hôtels pour touristes venus se faire griller au soleil, remplir leur panse
avantageuse et pour les plus jeunes faire la fête la nuit.
Après être passé voir l’hôtel de l’ami toulonnaise de Paul mais qui n’était pas là, nous
sommes allés faire de l’internet dans un café typico et très bruyant. Paul a enfin réussi à
envoyer les photos pour le blog grâce à l’ordinateur de Philippe.
Nous sommes rentrés à bord à la nuit pour un dîner simple et frugal.
Le bateau roule beaucoup car la baie n’est pas bien protégée de la houle d’ouest.

 

Vendredi 16 novembre J 28

L’équipage a relativement bien dormi malgré le roulis. Nous prenons le petit déjeuner
relativement tôt afin d’aller à terre faire quelques courses.
A 8h30 à l’arrivée au débarcadère, nous pouvons constater que l’étal des vendeuses de
poisson est beaucoup mieux achalandé qu’hier.

3 Retour de pêche

Retour de pêche.

Pose devant la fameuse plage de sable blanc

4 Les trois compères devant la plage de Santa Maria

Les trois compères devant la plage de Santa Maria.

avant de faire quelques courses au mercado local et d’aller prendre un café au même endroit
qu’hier. Le patron est un sénégalais, encore un.
Philippe et Paul font marcher le commerce local en achetant chacun une casquette Cap Vert.

5 Philippe et paul avec leur nouvelle casquette

Philippe et paul avec leur nouvelle casquette.

Retour à bord à 10h30 pour appareillage dans la foulée après avoir remonté à bord le zodiac et
son moteur.
Les voiles sont établies et nous partons cap au sud vers Boa Vista.
Avant le déjeuner, Bertrand offre à Philippe une bière, achetée au mercado, en paiement du
pari perdu concernant les fonctions ministérielles d’Hubert Védrine qu’il pensait n’avoir
jamais été ministre des affaires étrangères.
Pour déjeuner, toujours des steaks de thon préparé par Philippe avec du riz cuit par Paul
accompagnés d’une salade composée façon Paul également.
La côte de Boavista se rapproche malgré un vent faiblissant.
L’on peut apercevoir de larges étendues de sable. Certains disent que cette île est un petit
Sahara au milieu de l’Atlantique.

6 Arrivée à Boavista

Arrivée à Boavista.

Nous mouillons au sud de la ville de Porto Sal Rei, malheureusement un peu loin de
l’appontement mais sans possibilité de se rapprocher à cause des récifs.
Nous débarquons en zodiac pour découvrir une ville un peu endormie mais avec un certain
charme désuet. Il y a bien sûr des pêcheurs et les femmes qui vendent le poisson.

7 le port de Sal Rei à Boavista

Le port de Sal Rei à Boavista.

8 Vendeuses de poisson

 Vendeuses de poisson.

Dans une ancienne conserverie en ruine

9 Ancienne conserverie

Ancienne conserverie.

Nous découvrons diverses activités comme un artiste peintre au travail

10 Philippe en admiration devant l'artiste

Philippe en admiration devant l'artiste.

Un constructeur de bateau de pêche, une femme faisant cuire des beignets de poisson que
nous dégustons avec une sauce aux oignons bien relevée.

11 Femme préparant des beignets de poisson

Femme préparant des beignets de poisson.

12 Dégustation des beignets

Dégustation des beignets.

Nous poursuivons notre tour de ville que nous terminons avec une pause Strella, la bière
locale avant d’admirer un joli coucher de soleil.

13 Vue de la rade de Sal Rei

Vue de la rade de Sal Rei.

14 La pause Strella

La pause Strella.

15 Coucher de soleil 

Coucher de soleil.

Nous dînons dans un restaurant en terrasse très agréable avant de reprendre le zodiac dans le
noir pour retrouver Bellatrix.

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Commentaires
A
Vous avez oublié de dire au vendeur malien, ce qui lui aurait fait plaisir , que l'homme Blanc est responsable de leurs ongles incarnés , des mouches dans le lait et que s'ils font pipi de travers c'est aussi de sa faute !
Répondre
A
Le jaune fluo sur le dos et les palmiers du maillot rendent Philippe qui porte la caisse en bandoulière , remarquable ! Paul et Bertrand ne risquaient pas de le ( la )perdre ! <br /> <br /> De vous suivre à la trace nous donne l'impression de tout vivre comme si nous y étions et de bien rire aussi. Très beau reportage .
Répondre
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